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  • Session du 21 juin : en vidéos...

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    Retrouvez ci-dessous les vidéos des interventions faites en session du 21 juin 2013 du Conseil général de la Côte-d'Or.
     

  • Session du 21 juin 2013 : un président du Conseil général bien fuyant...

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    Les élus socialistes, radicaux de gauche et divers gauche du groupe des Forces de Progrès ont  une nouvelle fois eu l'occasion  de constater, à l'occasion de la session tenue ce jour , qu'à des échanges et des débats sereins, l'agressivité et le sectarisme prévalent en Côte-d'Or !   Une question appelle une réponse en principe, et en principe seulement, car plusieurs fois, c'est en touche que le Président a choisi de botter, et violemment parfois.

    Une première série de questions posées par Pierre-Alexandre PRIVOLT est restée sans réponse : que pense-t-il de la proposition d'un député UMP favorable au rétablissement des 40 heures, sans augmentation de salaires, pour tous les fonctionnaires ? Quid de la proposition qui consiste à proscrire le recrutement de chefs de parti dans les collectivités locales ?   En réponse, Pierre-Alexandre PRIVOLT eu droit au silence.

    Deuxième question sans réponse : Jean-Claude ROBERT, conseiller général du canton de Gevrey, demandait un peu plus d'objectivité dans le compte-rendu relatif à la pose de la 1ère pierre du collège de Brochon publié sur le site internet du département...  Mais qui préfère l'affichage à l'action ? Est-ce si drôle que ça d'avoir une autre conception du rôle des élus locaux comme des outils de communication officielle ?

    La 3ème question sans réponse, n'a pas eu le temps d'être posée : fort mécontent de ce qu'il a jugé comme "relevant du caniveau", il a brutalement interrompu la parole à Céline MAGLICA.

    Sans omettre que quand les Forces de Progrès demandent la création d'une mission d'évaluation et d'information sur les routes départementales parce que la commission ad hoc n'est plus du tout sollicitée ni informée, il rejette la demande au motif qu'il existe une commission ad hoc...

    Une fois de plus depuis mars 2008, le mépris, l'arrogance et le fait du Prince l'emportent largement sur le respect du pacte républicain qui devrait présider les travaux des élus départementaux.