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crise

  • Agenda : réunion publique le 24 mars

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    Mardi 24 mars prochain, je participerai à une réunion publique organisée sur le thème "Agir vraiment contre la crise". C'est prévu à la salle n°2 du centre d'animation Pierre-Jacques de Fontaine-les-Dijon à 20h30.  Venez nombreux ! Sur ce thème, vous pouvez consulter le document établi par la FNESR présentant différentes initiatives prises en France par les élus socialistes et de progrès ou lire nos propositions alternatives pour la Côte d'Or et dont la presse s'est faite l'écho.

    Liens:
    Les élus socialistes agissent contre la crise : démonstration par l'exemple.

    Accéder à la tribune publiée par le Journal du Palais

     

  • Les frais de com intéressent la presse...

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    Voici le reportage réalisé par la rédaction de France 3 Bourgogne et diffusé mardi soir au journal télévisé régional.
    Je crois qu'il n'y a plus que ceux qui ne voudront pas entendre, qui n'entendront pas.



  • Pôle Emploi : rencontre avec le directeur régional

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    Après une rencontre avec les responsables syndicaux régionaux et départementaux du SNU-FSU au sujet de Pôle Emploi et de leurs inquiétudes, le directeur régional, Pascal Blain, a souhaité à son tour me rencontrer.

    Placé sous le signe de la compréhension, cet échange s'est déroulé hier, mercredi 25 février et a été l'occasion de rappeler que l'idée de la fusion avait été lancée dans un contexte différent (avec un taux de chômage à 5 %) et qu'aujourd'hui la naissance de Pôle Emploi ne se déroule plus dans un contexte aussi favorable. Néanmoins, pour Pascal Blain l'enjeu de cette fusion reste d'actualité, avec la volonté de modifier le traitement et le suivi des demandeurs d'emploi, en leur offrant à terme un interlocuteur unique. A l'interne, et après les discussions en cours pour une convention collective, les agents issus de l'ex-ANPE et de l'ex-ASSEDIC se verront proposer un choix entre le statut public et un statut privé plus avantageux, qui permettra d'afficher « une baisse » du nombre de fonctionnaires.  Mais l'actualité de la crise et de ses effets font apparaître de réelles difficultés.  A commencer par la baisse importante des offres d'emploi, qui chutent de 13000 à 5000 offres. La qualité de l'accueil en est une seconde : chacun des 1000 agents de Pole Emploi Bourgogne a en charge au moins 120 demandeurs d'emploi, alors que la moitié permettrait une véritable efficience du service. Le directeur régional nous a confirmé les très mauvais chiffres du chômage en janvier sur l'hexagone (90000 chômeurs en plus en janvier contre 45000 attendus), en annonçant déjà la poursuite de cette tendance en février. En Bourgogne, et en quelques semaines, l'activité des services de Pole Emploi a augmenté de 25 %... Lors de cet entretien, Pascal Blain ne m'a pas rassuré sur les inquiétudes liées à une "marchandisation" de l'accompagnement humain, plus libéralisé et mis à la concurrence, sous la pression notamment des sociétés d'intérim intéressées par une "manne" d'argent en période difficile. Notons que dans ce cadre, il attend beaucoup de son travail avec la Région et le Département et se dit en attente des propositions qui lui seront faites. Je souhaite bien évidemment que le département prenne toute sa place entre autre autour du RSA et du pacte territorial d'insertion. Nous ne pouvons oublier que notre devoir est de permettre aux exclus de l'emploi de retrouver une place digne dans notre société.


    Pole Emploi, c'est quoi  ?

    Date de naissance : 19 décembre 2008

    Nature : établissement public national de droit privé, de comptabilité privée et non soumis au code des marchés publics, né de la fusion de l'ANPE et des ASSEDIC. A noter que depuis 2001, les ASSEDIC de Bourgogne et de Franche-Comté avaient déjà fusionnées.

    Missions : indemnisation des chômeurs et recouvrement des cotisations, prospection et placement, orientation des actifs.

    Effectif : 1000 agents en Bourgogne

    Budget annuel : 75 millions d'euros.

    Instances : Au niveau national, un conseil d'administration de 18 membres réunit les partenaires sociaux, l'Etat et des personnalités qualifiées, dont est issu le président du CA, M Dominique-Jean Chertier. Au niveau régional, on trouve aussi une instance paritaire des partenaires sociaux ainsi qu'un conseil régional de l'emploi.

  • Le RDV politique de France Bleu Bourgogne

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    Ce soir, j'étais l'invité du RDV politique de France Bleu Bourgogne où j'ai été interrogé par Arnaud Bousquet sur les raisons de notre vote vendredi dernier, nos propositions et la vie politique au Conseil général de la Côte d'Or.

    Retrouver l'interview complète sur le site internet de France Bleu Bourgogne en cliquant ici. Il est également en ligne sur le site de Dijon Première et publié dans la Gazette de Côte d'Or.

     

  • Nos propositions pour agir vraiment contre la crise en Côte d'Or

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    Présentées lors de la session extraordinaire consacrée à l’examen du plan de relance départementale, nos propositions pour agir vraiment contre la crise font suite à l’absence de concertation de la part de l’exécutif. Face à un plan banal, sans grande ambition ni orientation majeure, pour tout dire insuffisant, nous avons donc voulu être utiles à tous les Côte-d’Oriens et responsables dans un contexte de crise économique et sociale majeure.

    Notre plan permet de rééquilibrer les mesures autour de 3 orientations majeures : préserver l’environnement, soutenir l’activité des entreprises, et renforcer l’accompagnement social des plus démunis face à l’augmentation du chômage.

    C’est ainsi que nous avons demandé un vaste plan pour le logement social et d’orienter les investissements directs du département dans le respect des conclusions du Grenelle I. Pour les communes, les diagnostics énergétiques initiés par le SICECO l’année dernière doivent désormais pouvoir être multipliés et suivis de réels travaux grâce à une incitation financière du département. Enfin nous voulons soutenir les plus démunis : à l’heure où la majorité annonce aux familles concernées la suppression des bourses pour les lycéens, nous en demandons le maintien, mais mieux encore de renforcer l’accompagnement social par de véritables aides pour les jeunes, et notamment les apprentis, l’abondement des crédits diminués (les AMT notamment), le financement des centres sociaux du département (mis en attente par le Président alors que ce sont 580 emplois directement concernés), le rétablissement du suivi social des bénéficiaires du Fonds de Solidarité Logement et enfin la gratuité des titres de transport pour les titulaires des minima sociaux sur les lignes de bus du département. L’ensemble est consultable ici.

    Ces propositions représentent une somme globale de 25 Millions d’euros pour lesquelles nous avons aussi présenté des propositions de financement. Notre volonté de compléter les insuffisances du travail de l’exécutif a semble-t-il trouvé un écho sur les bancs de la majorité. Nous avons donc décidé de rechercher les vraies convergences face à la crise et accepter de nous retrouver dans un mois pour examiner nos propositions.

    La balle est désormais dans le camp du Président de l’exécutif et nous pourrons tous vérifier d’ici peu s’’il souhaite vraiment apporter des solutions crédibles aux difficultés économiques et sociales de notre département.

    RDV donc à la prochaine session.

    Cliquer ici pour accéder à nos propositions pour la Côte d'Or.

  • Plan de relance : quelle relance ?

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    Où sont les mesures en faveur de l’investissement des collectivités territoriales ? Telle est la question que pose Claudy Lebreton, président de l’Assemblée des Départements de France, après la présentation du gouvernement des 1000 chantiers du plan de relance.

    Avec lui je déplore l’absence de concertation qui a caractérisé cette démarche. Et l'accumulation d'engagements déjà pris par l'Etat et simplement avancés. Preuve de l'absence de tout effort nouveau en Côte-d’Or : le projet LGV Rhin-Rhône une nouvelle fois « oublié » intégralement dans ce plan. C’est la 2eme fois en 3 mois...

    Dans son plan de relance, le gouvernement oublie aussi que les meilleurs consommateurs des crédits d’investissement, ce sont les collectivités territoriales et notamment les départements, il en va de l’efficacité de l’action publique.

     

    Accéder au communiqué de presse du Président de l'ADF.

    Catégories : Actualités
  • Fermeture d'Amora : non !

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    Jeudi dernier la direction d'Amora annoncait la fermeture du site historique d'Amora à Dijon. Ce matin, la session du Conseil général s'ouvrait par la présentation du voeu déposé par la gauche pour exprimer notre opposition à cette décision.

    Après discussion,  nous adoptions le même voeu à l'unanimité.

    Le texte adopté :

    Les conseillers généraux de la Côte d’Or tiennent à affirmer leur opposition à la fermeture du site historique d’Amora Maille à Dijon, qui entraîne la suppression de 296 emplois.

     

    Cette annonce touche un des fleurons du pôle agro-alimentaire de notre département qui fait partie de notre patrimoine industriel et constitue un des piliers de Vitagora.

     

    Ils tiennent à manifester leur soutien aux salariés, à leurs familles ainsi qu’à tous les sous-traitants de l’entreprise.

     

    C’est pourquoi l’ensemble des Conseillers généraux demandent :

    - que le Conseil général pèse de tout son poids pour que soit revu le plan de restructuration d’Amora et que les sites, l’activité et l’emploi soient confortés sur la Côte d’Or et la Bourgogne.

    - Que les concours financiers publics de l’Etat, comme des collectivités territoriales, Région, Département, soient récupérés ou suspendus.

  • Crise financière : des questions

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    Monsieur le Préfet a réuni récemment une cellule de crise afin d'examiner les conséquences de la crise financière et bancaire. A cette réunion participaient des hauts fonctionnaires du département, les représentants des organismes bancaires, le directeur de la Banque de France, les chambres consulaires et les socio-professionnels. J'ai représenté l'association des maires de la Côte-d'Or. Et à son issue, j’ai informé les maires sur les réponses apportées par les banques, et notamment par la Caisse des dépôts et consignations ainsi que du taux d’intérêt annoncé.