J'ai participé mercredi à la manifestation organisée par les parents d'élèves devant le collège de Brochon. Ils se sont mobilisés pour réclamer un engagement ferme du président du Conseil général de la Côte-d'Or concernant les travaux attendus depuis trop longtemps. Et je suis volontairement resté en retrait pour ne pas être ensuite accusé par le même président de récupération.Voir à ce sujet le reportage sur France 3 Bourgogne en cliquant ici.
Le dossier du collège de Brochon n'est d'ailleurs pas le seul. A Longvic, le collège Roland-Dorgelès qui scolarise 550 élèves, détient un triste record, puisqu'en Côte-d'Or, il constitue le dernier exemplaire de collège dit de « type Pailleron ».
Les élus ne méconnaissent pas les contraintes financièresauxquelles est soumis comme d'autres le Conseil Général de la Côte-d'Or. Pour autant, pouvons-nous collectivement faire l'économie d'une réflexionsur la sécurisation définitive de cet établissement, qui passemalheureusement par sa restructuration, telle que déjà prévue par une étudede faisabilité ?La dernière fois que la ville de Longvic a soulevé cette question, c'étaitil y a plus de 2 ans et Longvic demandait la mise à l'agenda de ce groschantier dans un délai « raisonnable ».Plus de 2 ans après, aucune opération de maîtrise d'œuvre et deplanification des travaux n'est prévue.