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frais de communication

  • Département - Idéepole - Bygmalion

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    Voici la copie de la lettre adressée au Président du Conseil départemental lui demandant un certain nombre de documents sur l'attribution du marché à la société Idéepole pour la réalisation du magazine départemental.
     
    M Sauvadet n'a jamais daigné répondre aux élus de son opposition, alors qu'ils ne faisaient qu'exercer leurs droits légitimes d'élus. Pourquoi ? Il n'y avait que le Bien Public dans un article à l'époque (qui aurait pu être écrit par le directeur de cabinet) pour dire que tout était normal.

    Y-a-t-il eu surfacturation ? La prestation a-t-elle été réellement servie ? Cela va sans doute être difficile à démontrer par les enquêteurs. J'ai du mal à croire cependant que cette société soit venue par hasard en Côte-d'Or.

  • Une pétition en ligne. Non à la main mise politicienne sur l'institution départementale !

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    Un dérapage, deux dérapages, trois dérapages... Trop nombreux sont les exemples d'utilisation des moyens du Conseil général pour asseoir et diffuser une communication partisane sur l'ensemble du territoire départemental. Une nouvelle fois l’édition de novembre du magazine départemental devient outil de propagande partisane !

    Dans cette publication, uniquement financée par les deniers publics, le président du Conseil général attaque directement et systématiquement le gouvernement.

    Cette utilisation partisane de l’argent public est inacceptable. Les élus du groupe Forces de Progrès (socialistes, radicaux et divers gauche) tiennent à rappeler qu'avec 20 conseillers généraux, ils représentent plus de la moitié de la population de la Côte-d'Or.

    A ce titre, ils s'estiment légitimes pour appeler leurs concitoyens, animés par un réel esprit républicain, à s'insurger contre cette main mise éhontée sur une institution publique ainsi que sur ses moyens issus des impôts de tous les citoyens, quelles que soient leurs opinions.

    En signe de protestation, nous invitons chacun à se mobiliser et à signer avec nous la pétition du collectif citoyen à cette adresse :

    http://www.change.org/fr/pétitions/côte-d-or-magazine-trop-c-est-trop

    Nous recevrons par ailleurs tous les exemplaires que les destinataires souhaiteraient rendre au Président du Conseil général.


    Crédits ouverts et dépenses réelles COMAG.png

  • Finances départementales : trois priorités

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    Pour 2013, la premiere des priorités devra être de réduire le poids de la dette du département. Ce poids est particulièrement lourd comme l'illustre le graphique ci dessous où les barres qui se distinguent nettement du groupe sont celles relatives à notre département. Plus la dette pèse, plus les marges de manoeuvre se réduisent.
     

    endettement Annuité en E par hab.jpg

     
    La deuxième priorité devrait être d'augmenter l'autonomie financière. Sa réduction dramatique a été le fait pour une part de la politique fiscale de M Sarkozy, soutenue par la majorité actuelle, qui a conduit à réduire le panier fiscal des départements qui ont perdu 3 des 4 taxes locales qui le constituaient principalement. Mais il n'y a pas que cet élément : il y a aussi les choix faits ici, directement. Financer l'intégralité des investissements par le recours à l'emprunt, comme c'est le cas en Côte-d'Or, doit conduire à réfléchir à l'intérêt départemental des investissements financés ainsi. Le premier critère, objectif, sans polémique, pourrait être le caractère départemental de la compétence exercée. Depuis plusieurs années, des coupes sombres ont été faites dans les investissements directs du département et les gros chantiers pour le BTP (routes et bâtiments scolaires principalement). Quelle est l'utilité réelle de faire passer l'intérêt local avant l'intérêt départemental ? Quand ce n'est pas du gaspillage pur et simple, comme les 3,5 millions d'euros dépensés pour acquérir sur les exploitants agricoles 240 hectares de bonnes terres pour les "geler" au nom de la protection de la ressource en eau dans le dossier de la Boucle des Maillys... 
     
    Troisième priorité :  faire des économies de fonctionnement. Je le rappelle : en la matière, la droite a préféré faire faire des économies à ses grands partenaires associatifs des politiques de sociales départementales plutot qu'en faire dans des dépenses plus locales. On continue de financer des opérations dépourvues de tout intérêt départemental. Et nous sommes en total désaccord avec ces choix ! Ce n'est pas en réduisant le nombre de places d'accueil pour l'enfance, en rationnant les aides sociales ou en remettant en cause la gratuité du transport scolaire qu'on mène une politique socialement juste et efficace. Et au lieu de rechercher seulement à recouvrer les indus versés par erreur, nous demandons que le département se dote des outils utiles pour repérer qui a droit à quelle prestation au plus tôt. A l'heure d'aujourd'hui, il y a plus de bénéficiaires potentiels qui ne demandent pas le RSA ou autres prestations que de "fraudeurs" qui cherchent à tirer un profit ou d'erreurs de traitement. Et ce sera toujours plus utile aux Côte-d'Oriens que les dépenses somptueuses de communication et de réception.
  • Session budgétaire : pour faire des économies réelles !

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    Voici le courrier adressé au nom des élus du groupe des Forces de Progrès au Ministre-Président du Conseil général de la Côte-d'Or pour l'informer que nous ne participerons pas au repas de la session budgétaire du 16 décembre prochain. Pour mémoire, le groupe avait un déposé un voeu en novembre dernier pour demander une réduction de 50% des budgets communication, réception et fêtes et cérémonies qui sera examiné lors de la prochaine session des 15 et 16 décembre.


    Monsieur le Ministre,

    Par souci de correction, j'ai l'honneur de vous informer qu'aucun élu membre du groupe des Forces de Progrès ne participera au repas de la session budgétaire auquel vous les avez invités le 16 décembre prochain.

    Cette décision collective fait suite à une analyse dont il ressort en effet que nombre de concitoyens connaissent des difficultés grandissantes dans leur vie quotidienne. La situation financière du département est elle-même très tendue. Dépenser sans compter dans de telles réceptions nous paraît tout simplement indécent dans ce contexte.

    Ce pourquoi non seulement nous n'y participerons pas, mais nous vous appelons à prendre conscience de l'injure ainsi faite à la justice et à l'équité en organisant autant de réceptions (1 repas de session budgétaire en décembre, 1 réception des maires en été, 4 cérémonies de vœux en janvier,...). L'augmentation des frais de réceptions et de cérémonies depuis 2008 en est la traduction budgétaire. Pour mémoire : le budget « fêtes et cérémonies » était de 55 000 € dans le compte administratif 2008 et de 234 077,37 € dans le compte administratif 2010, soit une multiplication par 4.

    Il y a là à nos yeux matière à faire des économies réelles.

  • + 256 % en 7 ans... Qui dit mieux ?

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    Le président de l'exécutif départemental n'a pas hésité à entrer à fond et bien imprudemment dans la polémique au sujet des frais de communication. Sans chercher la petite bête, voici les chiffres des seuls rapports relatifs aux "actions de communication" soumis en session budgétaire :

    2003 :    860 000 €
    2006 : 1 180 000 €
    2008 : 1 584 300 €
    2009 : 2 209 400 € (+ 39,45 % par rapport à 2008)

    + 256 % depuis 2003 !

    Dans la même série, depuis que le magazine du Conseil général est passé à la formule mensuelle et de janvier à décembre 2009, ce sont 116 photos qui y ont été publiées présentant un ou des élus. Sur ces 116 clichés, le Président y figure 95 fois... soit un taux de visibilité de  81,90 %.  Entre nous ce n'est plus de la visibilité, c'est de l'omniprésence ! L'élu du groupe des Forces de Progres le plus visible arrive loin derrière avec 9 clichés.