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  • Aéroport : stop aux manipulations et aux coups de communication du Président Sauvadet

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    COMMUNIQUE DE PRESSE.

    Dijon le 27 mai 2013

      

    Aéroport : stop aux manipulations et aux coups de communication du Président Sauvadet

    Lors de la session de vendredi dernier, le Président du Conseil général a tenté un nouveau "coup de communication" avec pour seul objectif de stigmatiser la Région Bourgogne.

    C'est sur le sujet de l'aéroport que le Président Sauvadet a décidé cette fois de sa manipulation du jour : ainsi tout en s'indignant de n'avoir jamais été informé du déficit et en mettant en cause le Conseil Régional, il prétendait dans le même temps faire voter une soit disant "aide d'urgence".

    Le groupe des Forces de Progrès dénonce cette nouvelle manipulation :

    • manipulation parce que le Président du Conseil général connaissait bel et bien le montant du déficit (comme l'a confirmé le président de la CCI qui  a "rafraichi" la mémoire de François Sauvadet, devant le Préfet et les Présidents de la Région et du Grand Dijon, en rappelant que les 3 collectivités avaient été rendues destinataires du même courrier d'information en même temps) ;
    • manipulation parce que la soit disant "aide d'urgence" n'avait rien d’exceptionnel (puisqu'elle est en réalité égale au centime près au montant déjà budgété et prévu). La seule décision nouvelle fut de prolonger le délai de la convention de financement de l'aéroport en le portant jusqu'au 31 mai 2014, mais sans apporter un centime de plus.
    • manipulation quand le Président du Conseil général fait semblant de ne pas savoir que la Région Bourgogne ne prend en charge le rôle d'autorité concédante qu'au 1er juin 2014.

    La réunion tenue en préfecture après la session du Conseil général a conclu que le montant du déficit, connu des 4 structures, devra bien être assumé à parts égales par la CCI, la Région, le Grand Dijon et… le Conseil général, conformément à l'engagement de la Convention Renaissance.

    Nous regrettons profondément le comportement du président du Conseil général qui, dans cette affaire comme dans beaucoup d'autres depuis plusieurs mois, multiplie les "coups politiques" au lieu de s'occuper sereinement du fond des sujets. Le respect de la démocratie suppose un minimum d'honnêteté intellectuelle et sur ce dossier nous sommes bien loin du compte, quel que soit l'avis que l'on peut avoir sur la pertinence et l'intérêt d'un aéroport à Dijon !

    Nous appelons le Président du Conseil général à cesser ses manipulations et réaffirmons notre rôle vigilant, minoritaire certes mais digne de respect, au service des Côte-d'Oriens.

     

    Pour le groupe des Forces de Progrès,
    Jean-Claude ROBERT, Président du groupe,
    et Patrick MOLINOZ, vice-président.

     

  • Session du 24 mai : les interventions

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    Retrouvez ci-dessous les interventions faites en session vendredi dernier par les élus du groupe des Forces de Progres.

  • Gaspillage (3) : le chef de gare de Montbard de retour

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    -          Et puis je voudrais terminer, Monsieur le Président, par… Quand même ! J’ai noté que les dossiers de la commission 1 étaient opportunément repoussés en fin de séance ce soir. Donc je voudrais aborder un point particulier qui est la reconduction d’un emploi permanent occupé par un agent contractuel.  Ne nous y trompons pas, Monsieur le Président, je refais encore appel à votre sens de la « culture de l’évaluation », nous aurions aimé qu’il y ait un bilan d’activité pour essayer de justifier l’activité de cet agent contractuel. Qui est d’ailleurs totalement inconnu des associations d’insertion quand on leur pose la question. On demande « quel est votre interlocuteur ? ».  Elles ne le connaissent pas. Ne nous voilons pas la face, Monsieur le Président : ce poste a été créé intuitu personne, c'est-à-dire pour permettre à l’animateur du Nouveau centre, qui siégeait dans votre cabinet de le quitter. On lui a créé un poste spécifique tout simplement pour lui permettre de figurer sur la liste des élections régionales et d’être élu au Conseil régional. On avait même envisagé sa candidature à Nuits Saint Georges. L’atterrissage n’a pas pu se faire. Tout ceci pour éviter la loi sur les incompatibilités parce qu’un membre de cabinet ne peut pas être candidat à la Région. Quand je vois toutes les activités de ce chargé de mission au conseil régional, président de fait du SICECO, chef de gare à Montbard j’avais dû écrire à un moment, tous les mandats locaux… J’ai même vu que lundi, il était venu étudier l’insertion à Rhénanie-Palatinat. Pour un emploi très partiel, je trouve que c’est fort cher payé. Donc Monsieur le Président, nous ne sommes pas dupes. En plus, ce monsieur pourrait être un petit plus discret et quelque fois s’appliquer à lui-même le devoir de réserve. Nous ne sommes pas dupes. Nous ne sommes pas naïfs. Et nous ne serons pas complices, Monsieur le Président.

  • Gaspillage (2) : 2 poids, 2 mesures pour l'enseignement supérieur

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    -          En ce qui concerne l’Ecole de commerce, nous sommes perplexes.

    Beaucoup, beaucoup d’argent a été englouti dans cette école pour, parait-il, lui permettre d’accéder à un niveau supérieur. Je vous ai vu dans d’autres domaines être plus soucieux de la « culture de l’évaluation » pour reprendre une expression qui est la vôtre. On leur a donné de l’argent pour un objectif qu’ils n’ont pas atteint. Donc si on appliquait la même chose que vous avez appliqué par exemple au groupe ID’EES, on devrait leur supprimer leur subvention. Je m’étonne qu’on continue de subventionner un établissement privé, alors même que vous avez refusé de subventionner l’Université. Ce qui se comprend. Mais pourquoi cette exception ? Et surtout, quand je vois tout ce qui reste à faire dans nos collèges, dans nos collèges –je suis bien placé pour m’exprimer sur ce sujet, et que l’on donne autant pour une école privée, je crois qu’il y a 2 poids, 2 mesures. Là-dessus, nous ne vous suivrons pas.


  • Gaspillage (1) : les clés USB sans intérêt avéré

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    Je voudrais très rapidement aborder, en les survolant, trois dossiers :

    -          celui des collèges. Vous avez parlé de l’attribution de la clé USB . Je vous le dis tout net : nous pensons que c’est du gaspillage. Je vous l’ai déjà dit. Tout simplement parce que ça n’a pas été demandé par les communautés éducatives. Vous vous prévalez du soutien de l’inspection académique, ce dont je doute. Les chefs d’établissement n’en veulent pas. Certains même interdisent aux élèves de s’en servir pour ne pas apporter des virus dans leurs systèmes. 30 % des élèves n’ont pas d’ordinateur. Quant au contenu de la clé, je ne vois pas bien ce que ça apporte. Je pense que c’est un effet d’annonce qui relève plus de la communication qu’un moyen important et nouveau mis à disposition des élèves. Je pense que c’est du gaspillage.

     

  • La mémoire trop courte du Président du Conseil général

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    En ce qui concerne les allusions que vous avez faites sur la politique nationale, Monsieur le Président, vous avez la mémoire très courte quand même. En parlant de l’Education nationale pour un ministre qui a soutenu un gouvernement qui supprimé 80 000 postes dans l’Education nationale, critiquer ce qui se fait aujourd’hui me semble quand même assez fort de café.

    Vous notez l’insuffisance des nouveaux moyens accordés à la Bourgogne. Je vous rappelle Monsieur le Président, que la répartition de ces postes relève de la seule responsabilité du Recteur. Et je trouve effectivement cette répartition proprement scandaleuse. Et vous n’êtes pas aller au bout de l’information car dans les 3 postes accordés à la Côte-d’Or, il y en a un dans un endroit où il y a une pression très forte, dans la commune de Salives. Je n’en dirai pas plus, mais je vois là de la part du Recteur une provocation intolérable, et je pèse mes mots et j’espère bien que c’est une des dernières de ses provocations. Vous avez oublié de parler des moyens provisoires, Monsieur le Président, qui ont été alloués dans un certain nombre d’établissements. Et qu’en 3 semaines, on ait pu créer 1000 postes aussi rapidement, après les 80 000 supprimés, je crois que vous auriez pu choisir un autre thème.

    Je me réjouis effectivement de l’annonce de l’abolition du conseiller territorial, cet être hybride. Je me réjouis effectivement de l’annonce de l’acte 3 de la décentralisation. En ce qui les transferts de compétence non compensés, vous parlez effectivement en orfèvre, ça va être dur de faire plus mal. Quant à la présence territoriale et la disparition des services publics en milieu rural, ils ont déjà disparu, on ne va pas pouvoir en enlever, ils n’existent plus. Et puis la représentation, Monsieur le Président, un conseiller général élu avec  432 voix, d’autres avec 20 000 voix, ça ne peut plus fonctionner dans un système démocratique. Donc je souhaite qu’effectivement il y ait un nouveau système, un nouveau mode d’élection qui soit un peu plus égalitaire, plus équitable en tous les cas et plus démocratique.

  • Bienvenue à Céline Maglica et bravo à Laurent Grandguillaume

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    Monsieur le Président, mes chers collègues,

    Bien entendu je me réjouis pour diverses raisons de l’arrivée de notre nouvelle collègue qui va apporter, y compris dans notre groupe, un regard nouveau.

    Et je voudrais aussi saluer la brillante élection de Laurent Grandguillaume à l’Assemblée nationale qui, de façon exemplaire effectivement, a choisi de respecter son engagement de ne pas pratiquer le cumul des mandats. Bel exemple qui pourrait être suivi ici et ailleurs. Et d’ailleurs, j’espère qu’une nouvelle loi viendra bientôt réglementer de façon plus stricte cet aspect.

    Une petite disgression, monsieur le Président, vous avez regardé les groupes du Conseil général. Je pense que vous n’omettrez pas de regarder les groupes de l’Assemblée nationale au niveau de la représentation féminine.

    En ce qui me concerne, je voudrais vous adresser mes félicitations toutes républicaines pour votre réélection à l’Assemblée nationale. J’ai d’ailleurs le sentiment, voyez vous, que le Président du Conseil général vous a un petit peu aidé dans cette réélection. Je ne vous cache pas que j’aurai préféré, tant qu’à faire avoir un président du Conseil général à plein temps, qui consacre tout son temps, toute son énergie au département de la Côte-d’Or et au département tout entier.

    Apres cette longue séquence électorale, je souhaiterai que l’équité soit la règle dans notre département : équité totale entre les territoires, équité dans le traitement des dossiers, dans leur rapidité, bref que tout soit pris déjà dans l’intérêt général. J’allais dire, Monsieur le Président, que je souhaiterai que vous soyez un Président normal !

  • Session du 30 mars : les vidéos

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    Vous pouvez retrouver toutes les interventions faites lors de la séance du 30 mars dernier ci-dessous ou vous rendre sur le site du groupe à l'adresse www.forcesdeprogres.net


  • Session budgétaire : toutes les vidéos en ligne

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  • Budget primitif 2012 : un budget d'austérité et de récession !

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    Session budgétaire de décembre 2011

     

    Retrouver ci dessous mon intervention en discussion générale lors de l'ouverture de la session budgétaire de décembre 2011 consacrée à l'examen du budget primitif 2012.

     


    Jean-Claude ROBERT - Intervention sur Budget... par ForcesdeProgres